Journée Mondiale Parkinson

En 1817, le médecin James P. dérivait pour la première fois la maladie qu’il nommait « paralysie agitante ».

Quelques décennies plus tard, c’est le médecin neurologue CHARCOT qui la baptisait « la Maladie de Parkinson » (MP) en hommage à son homologue anglais James Parkinson.

Depuis lors, les recherches ont beaucoup avancé, mais les symptômes restent les mêmes : une forme de paralysie agitante, comme le décrivait subtilement son observateur.

Présenter cette pathologie comme telle, m’apparaît aujourd’hui essentiel pour faire changer le regard sur ces symptômes antinomiques autant qu’handicapants.

Lorsque la paralysie n’est pas immobile, et que l’agitation n’est pas motrice…

Que cela concerne la motricité globale ou fine, les symptômes de la MP impactent tous les domaines de la vie courante, dans la vie publique comme dans l’intimité.

Si cette pathologie est souvent synonyme de grand-âge, n’oublions pas les Jeunes Parkinsoniens : 15% des 25 000 nouveaux cas annuels en France. Qui vivent, rient, dansent, travaillent, … et s’agitent admirablement !